La Soumission De Ma Belle-SœUr 2

Suite...

Fabienne ne pouvait les sons que les caresses punitives de Gaëtan lui inspirés. Les « Hum », les « Euff » aspirés se relayés sans cesse. Entre douleur et plaisir, Fabienne ne pouvait rien cacher de sa passion. Ses seins, ses tétons avait toujours été sensibles. Elle se souvenait de ses premiers émois, quand en pension elle était tombée dans la chambre d’une camarade qui l’avait peu à peu initié à toutes ses pratiques qui de choquantes à l’époque sont passés à rechercher aujourd’hui. Malheureusement sa vie d’adulte n’avait pas pu la combler, ses recherches l’avaient plusieurs fois conduit soit à des hommes dont le fantasme prenait le pas sur la pratique ou sur des « maitres » plus portés sur de l’esclavage que sur la satisfaction de leurs soumises. Elle sentait que Gaëtan pouvait être le bon. Elle n’y avait jamais pensé, sachant sa sœur peu porté sur d’autres sources de plaisirs, mais Gaëtan semblait sur de lui et cela lui plaisait. Elle n’avait jamais vraiment osé parler de ses penchants. Pour les autres, comme elle les appelés, le plaisir était simple, du moins c’est ce qu’elle se disait, mais pour elle le plaisir se combinait au pluriel. Tout d’abord ce sentiment d’abandon, que son destin ne lui appartenait plus (comme en ce moment), était pour elle un plaisir intense. Avant même la douleur physique, les entraves mentales la maintenait dans un état d’excitation très fort. A chaque fois qu’elle avait pu y gouter, cette sensation de se jeter dans le vide, un peu comme un sauteur à l’élastique avant son saut, lui procurait sa dose d’adrénaline qui lui permettait d’accéder à la deuxième phase. Cette phase où la douleur physique lui faisait ressentir son sentiment d’être en vie. Ressentir, parce que même physique, cette douleur la faisait voyager au plus profond d’elle-même et la rattacher à la vie. Puis la troisième phase, où la douleur cède la place au plaisir, un plaisir intense, fort incomparable à toutes les sensations qu’elle avait pu éprouver jusqu’à là.


- Je vois que tu aimes ça !
La phrase et le geste de Gaëtan, caressant son sexe, la ramenât à la réalité. Elle mouillait abondamment, ce n’était pas une femme fontaine, mais son plaisir la faisait littéralement couler, ce qui lui valu de voir quelques hommes la fuir. Elle ne pouvait pas le cacher, le traitement que lui réservait Gaëtan lui procurer beaucoup de plaisir.
- J’ai besoin de savoir des choses sur toi, je veux que tu répondes complétement et honnêtement aux questions, tu as compris ?
- Oui Monsieur, s’entendit-elle répondre presque malgré elle.
Gaëtan se rassit en face de Fabienne. Il resta muet 10 minutes, un moment court, mais quand vous êtes nue, à genoux, jambes écartées, les mains croisées derrière la tête et le regard au sol, ce sont 10 minutes qui vous paraissent une éternité.
- Mets tes mains sur tes cuisses, reste à genoux et regarde-moi. Fabienne obéit rapidement tellement ses bras ankylosés lui procurer une douleur que cette posture rarement tenue aussi longtemps quasi inconnue.
- Depuis quand pratiques-tu le SM ? Fabienne avait 35 ans et Gaëtan 10 ans de plus.
- Depuis mon internat vers 17 ans.
- Tu as toujours eu des relations de ce type, ou tu as aussi connu du « classique » ?
- J’ai eu toutes sortes d’expérience, du plus classique au plus exotique, Monsieur.
- J’ai besoin que tu sois d’accord avec tout ce qui va suivre entre nous, mon chantage s’arrêtera là. Si tu souhaites continuer avec moi, en suivant les règles que nous allons fixer, je veux que ce soit consentie. Si tu ne souhaites pas continuer, je te laisse la clé USB et je te laisserai tranquille. C’est toi qui décide.
C’était la tempête dans le crâne de Fabienne. La façon dont elle avait été piégée, jouait en défaveur de la proposition de Gaëtan. Pour autant sans cela, elle n’aurait pas découvert les penchants de son beau-frère, et le traitement subi jusqu’à présent lui aurait été inconnu. Pour, contre, tous les arguments se bousculaient.
Elle prit sa décision en quelques secondes.
- Je suis d’accord, Monsieur.
Gaëtan était aux anges et il ne put réprimer le sourire qui se lisait sur ses lèvres.
- Mes questions, et surtout tes réponses auront pour objectif de définir ensemble les modalités de ce que nous allons vivre. Tu m’as dit avoir commencé en internat, avec une fille ou un surveillant ?
- Avec ma camarade de chambre, une fille, Monsieur.
- Tu te sens lesbienne, hétéro ou bi ?
- Je me sens bien avec celles et/ou ceux qui peuvent me procurer du plaisir, je ne catégorise pas.
- Quelques questions directes sur tes pratiques, réponds sans crainte. Tu pratiques la fellation ? si oui est-ce que tu avales ? Anulingus ?
- J’aime sucer dans la plupart des cas, quand c’est souhaité j’aime avaler le sperme. J’aime aussi lécher des culs, Monsieur.
- Sodomie, fist vaginal, anal ?
- Sodomie et fist vaginal oui, anal, jamais tenté.
- Exhib ?
- Pas vraiment mais j’ai déjà essayé en forêt, mais sans rencontrer personne.
- Uro, scato ?
- Uro, oui sur le corps mais je n’ai jamais avalé, scato, jamais et cela ne m’attire pas.
- Tu as déjà uriné dehors ?
- Oui entre deux voitures ou en forêt, Monsieur.
- Tu as déjà été attaché ?
- Les mains dans le dos, ou bras et jambes sur un lit, Monsieur.
- Cravache, martinet, fouet, bâton, sur tout le corps, ou une partie ?
- Martinet seulement sur tout mon corps.
- Pinces, cires, aiguilles ?
- Pinces sur mon sexe et les seins.
- Nous verrons ensemble si sur certaines pratiques tu iras au-delà de ce que tu fais aujourd’hui, mais je vois que tu es déjà expérimentée. Remets-toi en position.
Aussitôt Fabienne remonte ses mains derrière sa tête et regarde le sol, jambes bien écartées.
- Je vois que tu as compris. C’est bien. Maintenant je vais te faire apprendre la position 2. Mets-toi debout les mains toujours croiser derrière la tête, jambes bien écartées, et tu te penches un peu.

Dans cette position les seins lourds de Fabienne dardés leurs tétons vers le sol. Une position qui avait toujours procuré un plaisir intense à Gaëtan.
- Avant d’aller se coucher, on va jouer un peu.
Cette phrase, seule, avait fait naître un frisson chez Fabienne. Il faut dire que déjà ses membres tremblaient, tellement les positions étaient dures à tenir sur la longueur.
Gaëtan se lève, att le martinet qu’il était parti chercher dans la chambre de Fabienne et commence lentement à l’appliquer sur ses fesses. La droite, la gauche, la droite, la gauche, une caresse de temps en temps descendant vers son sexe. Son cul commençait à prendre une belle teinte rosée, qui était le but de cet exercice. Les gémissements de plaisir de Fabienne, ne laissait aucun doute sur sa situation, les yeux mi-clos elle se contentait de ressentir le plaisir monté. De temps en temps un coup plus fort, plusieurs donnés sur la même fesse, permettait à Fabienne de ressentir ce mixe entre douleur et plaisir qu’elle aimait temps. Gaëtan caressant son cul rougis descendait sa main sur son sexe bien lubrifié, ses doigts s’attarde sur ses lèvres, il les pince et tire dessus pour les faire s’allonger.
- Hum ! AH ! Cette caresse particulière faisait gémir de douleur Fabienne qui sentait monter sa jouissance sans qu’il ait encore touché son clitoris, qui était son interrupteur de jouissance. Un sentiment nouveau montait en elle.
Un doigt, deux puis trois se fraye leur chemin dans sa grotte intime, sans aucune difficulté, tant elle est mouillée. Il aurait pu tenter de la fister directement sans lubrifiant, son excitation aurait permis cette intromission. Mais il ne le fit pas, ces doigts changèrent de direction et s’intéressèrent à un autre trou, tout aussi dilaté par cette excitation. Les trois mêmes doigts prirent possession de son cul sans trop de difficulté. La jouissance était proche Fabienne l’attendait avec une envie non dissimulée.
Gaëtan s’en rendait compte et n’était pas encore prêt à la laisser s’abandonner.
Il s’arrêtât d’un coup et Fabienne surprise se laissa tomber au sol.
- Position numéro 2 et vite lui cria Gaëtan en lui donnant un coup de martinet sur les cuisses qui celui-ci n’était pas fait pour donner du plaisir, du moins immédiat.
Avec difficulté Fabienne se remit en position.
- Pardon, Monsieur.
Gaëtan était fier de son effet et reconnaissait la soumission de Fabienne à son juste degré. Sans plus de paroles, il entreprit de faire rougir cette opulente poitrine, selon la même méthode que pour le cul de Fabienne. Le martinet se faisait plus précis, plus fort aussi, laissant Fabienne échapper des petits cris.
- Est-ce que tu veux jouir ?
- Oui Monsieur dit Fabienne avec passion.
- Ce ne sera pas ce soir. Pour jouir il faudra que tu le mérites et ce soir ce n’est pas le cas.
Fabienne été frustrée, elle qui était si proche tout à l’heure se voit refuser ce dernier plaisir. Elle se dit que tant pis, il lui reste à sucer la queue de Gaëtan qui doit être au bord de l’explosion.
- Tu ne me feras pas jouir non plus ce soir, comme si Gaëtan répondait à une question qu’elle n’avait pas posée. Ce n’est pas avec ta piètre démonstration de ce soir que tu mérites de me faire jouir. Rajoutât-il comme pour l’humilier davantage. Je veux que tu ailles te coucher. Demain tu me présenteras une lettre où tu t’engages à m’obéir et où tu demandes d’être traitée comme une moins que rien. Maintenant dégage ! Et attention interdit de te toucher, n’oublies pas que je te regarde.
Ces mots durs mirent fin à sa première soirée de soumission, malgré sa frustration, Fabienne sentait un sentiment heureux l’envahir, elle n’aurait jamais soupçonné son beau-frère d’une telle perversité. Elle se dit que sa sœur passait à coté de quelque chose de fort qu’elle sentait avec Gaëtan. Elle descendit dans son appartement.
Gaëtan se retrouve seul, le souffle coupé, le cœur qui bat à 200%, tout cela il l’avait imaginé plusieurs fois sans savoir s’il en était capable. Sentir Fabienne sous sa coupe de la sorte, avoir le contrôle sur elle, étaient des sentiments forts, qu’il était heureux d’avoir su maitriser. Lui aussi se retrouve frustré de n’avoir pas joui, mais il voulait que tout soit sous contrôle y compris sa propre jouissance, du moins en présence de fabienne. Maintenant qu’elle était partie, il ne pensait qu’à une seule chose, soulager la pression qu’l avait dans le bas ventre. Il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps vu son niveau d’excitation. Il sortit son sexe bien dur et commence des va-et-vient appliquant une pression avec deux doigts autour de son gland circoncis. Il passait souvent un doigt sur son frein et frottait son méat, massage qu’il appréciait beaucoup. Très vite la jouissance se fait sentir, mais une réponse de Fabienne à son questionnaire lui revient en tête : « j’aime avaler le sperme ». Comment alors ne pas gâcher sa jouissance ?
Et si je le congeler se dit-il. La voilà la solution à partir de maintenant, il congèlera son sperme à chaque fois que Fabienne ne sera pas là pour le satisfaire. Il alla chercher un verre dans la cuisine et sa masturbation reprit d plus belle à l’évocation de cette solution. De mémoire, il ne se rappelle pas d’avoir un jour éjaculer autant, il remplit près de la moitié du verre. IL prend une poche de congélation, mets le verre dedans et l’installe dans le congélateur à l’abri des regards indiscrets.
IL est presque minuit quand, fier de lui, il remonte dans la chambre conjugale, des images plein la tête. En ouvrant la porte, il trouve Virginie assise sur le lit.

A suivre

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